Virginie MESSEMER est une photographe autodidacte, originaire de Strasbourg.
Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle a toujours eu un appareil photo à ses côtés.
Sa passion lui est apparue à l’âge de 10 ans lors d’un atelier à l’école primaire, où elle a fabriqué un appareil photo à partir d’une boîte en carton et a réalisé des développements papiers. Elle était fascinée par cet objet et par la magie du processus photographique : reproduire une vision sur un support en papier.
L’argentique lui a fait les yeux doux pendant près de dix ans avant qu’elle ne découvre, en 2002, le numérique : la vision immédiate du rendu de la photo sur un écran, ainsi que les déclenchements illimités lui donnent une plus grande liberté d’action et lui ouvrent le chemin vers de nouvelles opportunités photographiques.
A 30 ans, elle investit dans un reflex et devient membre du Club Photo d’Achenheim pour se former à la maîtrise de son appareil. Elle y apprend les techniques de prise de vue et de post-traitement. Cette formation lui a donné les clés pour approfondir et explorer la photographie de manière plus créative et artistique. Elle y restera deux ans.
Depuis son adolescence, elle est attirée par l’architecture, l’urbanisme, le paysagisme et les animaux. Elle décide de se spécialiser dans la prise de vue de bâtiments, de scènes urbaines et de la nature.
Captivée par les univers plutôt monochromes et intemporels, elle a toujours aimé le noir et blanc et c’est aujourd’hui devenu sa signature. On retrouve dans ses clichés un peu de Simon Marsden, qui aimait prendre en photo des lieux à l’atmosphère énigmatique et ténébreuse.
En 2015, elle participe à un marathon photos organisé par la ville de Haguenau où elle fait partie de la sélection du jury. Elle est notamment repérée pour sa perspective d’un réverbère en noir et blanc.
Sa 1ère exposition photo en 2019 à Mod ’Art (Schweighouse sur Moder) est un réel point de départ dans son parcours de photographe : l’accueil chaleureux fait à ses photos lui confirme le chemin pris.
A partir de cet instant, elle décide de se professionnaliser et de dévoiler ses photos et sa propre vision du monde.
Aujourd’hui elle se définit comme une artiste à part entière : une photographe d’art.
ART3F MULHOUSE (2021)
ART3F STRASBOURG (2022)
Batt'ARt (2022)
Rosace - Galerie HOREA Strasbourg (2023)
Art & Wine (2023)
Depuis ma 1ère exposition en 2019 à Mod ‘Art (Schweighouse sur Moder), les photographies couleurs que je proposais étaient complémentaires de la photographie en noir et blanc mais elles restaient toujours minoritaires.
La couleur s’est retirée pour laisser la place au noir et blanc qui ne cherchait qu’à se dévoiler depuis ces dernières années. C’est désormais ma signature artistique. C’est au travers de deux citations, l’une de Jack Antonoff, l’autre de Kadir Van Lohuizen que je parviens le mieux à décrire mon attachement et ma fascination pour le noir et blanc.
« Le noir et blanc crée un étrange paysage de rêve que la couleur ne peut jamais offrir ». Tel un oxymore, il est difficile de s’imaginer un paysage de rêve sans couleurs. Le noir et blanc offre une profondeur à la photo que la couleur ne pourra jamais produire. Photographier en noir et blanc revient à regarder le monde sans couleur. Tout ce qui va compenser la perte de couleur va ressortir à nos yeux : lignes, formes, contrastes, lumières et reliefs.
Kadir Van Lohuizen, lui, affirmait « Je préfère photographier en noir et blanc qu’en couleur. Le noir et blanc va à l’essentiel — la couleur aurait distrait l’histoire que je voulais raconter ». En effet, selon moi, les couleurs éloignent le regard de l’émotion recherchée, elles nous distraient. Alors qu’en noir et blanc, nos yeux savent instantanément où se diriger : l’émotion recherchée par le photographe est immédiate.
On retrouve dans mon univers les grandes thématiques suivantes : les paysages urbains, l'industrie, l'architecture et bientôt le monde animal.
Ces thèmes me passionnent et me fascinent et c’est pour cela que je souhaite les explorer en photo :
J’aime la majestuosité des bâtiments, la beauté de l’architecture contemporaine et passée. Je cherche toujours à mettre en valeur une symétrie, des reliefs ou une perspective.
J’aime l’industriel et l’urbain car ils sont composés de matières brutes qui sont sublimées en noir et blanc : les textures sont profondes et envoûtantes.
J’aime le monde animal car c’est ce que notre Terre a de plus beau à nous offrir : des splendeurs géométriques, des beautés animales et des paysages à couper le souffle.
J’ai fait le choix d’imprimer mes photographies d’art sur des papiers Hahnemühle Fine Art, de l’alu Dibond et avec un cadre flottant protégeant l'œuvre, à la suite de ma rencontre avec mon futur imprimeur en 2018 au Salon de la Photo à Paris. Ce sont des supports qualitatifs et très esthétiques. Ils sont faits pour durer dans le temps et mettent en valeur mes photographies en noir et blanc. Mes photographies sont disponibles en deux formats. Les autres formats sont sur demande.
La photo est pour moi un relais entre mon œil et le monde. Elle me permet de retranscrire un sentiment, un détail qui aurait pu échapper aux autres, comme pour être témoin de son temps et prendre la réalité par surprise. La photographie m’apaise et me rend sereine : c’est mon « art libérateur ».
L’envie de voyager et de photographier le monde s’est accrue ces derniers mois. J’aspire à découvrir les capitales européennes, qui sont des sources d’inspiration pour moi. Je souhaite également montrer leur richesse et leur splendeur avec ma vision atypique pour créer le trouble dans l'œil du spectateur et l'émerveiller.
Désormais, j’aspire à faire découvrir mes photos sur la scène nationale et internationale. Le noir et blanc restera ma signature mais stimulée par la nouveauté et par l’envie de surprendre, j’envisage de réaliser des séries ponctuelles qui sortiront de mes photos habituelles tant au niveau technique, que de mes sujets.
Convaincue que mon don m’a aussi été donné pour soutenir une cause, je mettrai mon art au service de la protection animale, qui me tient à cœur.
Virginie MESSEMER est une photographe autodidacte, originaire de Strasbourg.
Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle a toujours eu un appareil photo à ses côtés.
Sa passion lui est apparue à l’âge de 10 ans lors d’un atelier à l’école primaire, où elle a fabriqué un appareil photo à partir d’une boîte en carton et a réalisé des développements papiers. Elle était fascinée par cet objet et par la magie du processus photographique : reproduire une vision sur un support en papier.
L’argentique lui a fait les yeux doux pendant près de dix ans avant qu’elle ne découvre, en 2002, le numérique : la vision immédiate du rendu de la photo sur un écran, ainsi que les déclenchements illimités lui donnent une plus grande liberté d’action et lui ouvrent le chemin vers de nouvelles opportunités photographiques.
A 30 ans, elle investit dans un reflex et devient membre du Club Photo d’Achenheim pour se former à la maîtrise de son appareil. Elle y apprend les techniques de prise de vue et de post-traitement. Cette formation lui a donné les clés pour approfondir et explorer la photographie de manière plus créative et artistique. Elle y restera deux ans.
Depuis son adolescence, elle est attirée par l’architecture, l’urbanisme, le paysagisme et les animaux. Elle décide de se spécialiser dans la prise de vue de bâtiments, de scènes urbaines et de la nature.
Captivée par les univers plutôt monochromes et intemporels, elle a toujours aimé le noir et blanc et c’est aujourd’hui devenu sa signature. On retrouve dans ses clichés un peu de Simon Marsden, qui aimait prendre en photo des lieux à l’atmosphère énigmatique et ténébreuse.
En 2015, elle participe à un marathon photos organisé par la ville de Haguenau où elle fait partie de la sélection du jury. Elle est notamment repérée pour sa perspective d’un réverbère en noir et blanc.
Sa 1ère exposition photo en 2019 à Mod ’Art (Schweighouse sur Moder) est un réel point de départ dans son parcours de photographe : l’accueil chaleureux fait à ses photos lui confirme le chemin pris.
A partir de cet instant, elle décide de se professionnaliser et de dévoiler ses photos et sa propre vision du monde.
Aujourd’hui elle se définit comme une artiste à part entière : une photographe d’art.
Démarche : Depuis ma 1ère exposition en 2019 à Mod ‘Art (Schweighouse sur Moder), les photographies couleurs que je proposais étaient complémentaires de la photographie en noir et blanc mais elles restaient toujours minoritaires.
La couleur s’est retirée pour laisser la place au noir et blanc qui ne cherchait qu’à se dévoiler depuis ces dernières années. C’est désormais ma signature artistique. C’est au travers de deux citations, l’une de Jack Antonoff, l’autre de Kadir Van Lohuizen que je parviens le mieux à décrire mon attachement et ma fascination pour le noir et blanc.
« Le noir et blanc crée un étrange paysage de rêve que la couleur ne peut jamais offrir ». Tel un oxymore, il est difficile de s’imaginer un paysage de rêve sans couleurs. Le noir et blanc offre une profondeur à la photo que la couleur ne pourra jamais produire. Photographier en noir et blanc revient à regarder le monde sans couleur. Tout ce qui va compenser la perte de couleur va ressortir à nos yeux : lignes, formes, contrastes, lumières et reliefs.
Kadir Van Lohuizen, lui, affirmait « Je préfère photographier en noir et blanc qu’en couleur. Le noir et blanc va à l’essentiel — la couleur aurait distrait l’histoire que je voulais raconter ». En effet, selon moi, les couleurs éloignent le regard de l’émotion recherchée, elles nous distraient. Alors qu’en noir et blanc, nos yeux savent instantanément où se diriger : l’émotion recherchée par le photographe est immédiate.
On retrouve dans mon univers les grandes thématiques suivantes : les paysages urbains, l'industrie, l'architecture et bientôt le monde animal.
Ces thèmes me passionnent et me fascinent et c’est pour cela que je souhaite les explorer en photo :
J’aime la majestuosité des bâtiments, la beauté de l’architecture contemporaine et passée. Je cherche toujours à mettre en valeur une symétrie, des reliefs ou une perspective.
J’aime l’industriel et l’urbain car ils sont composés de matières brutes qui sont sublimées en noir et blanc : les textures sont profondes et envoûtantes.
J’aime le monde animal car c’est ce que notre Terre a de plus beau à nous offrir : des splendeurs géométriques, des beautés animales et des paysages à couper le souffle.
J’ai fait le choix d’imprimer mes photographies d’art sur des papiers Hahnemühle Fine Art, de l’alu Dibond et avec un cadre flottant protégeant l'œuvre, à la suite de ma rencontre avec mon futur imprimeur en 2018 au Salon de la Photo à Paris. Ce sont des supports qualitatifs et très esthétiques. Ils sont faits pour durer dans le temps et mettent en valeur mes photographies en noir et blanc. Mes photographies sont disponibles en deux formats. Les autres formats sont sur demande.
La photo est pour moi un relais entre mon œil et le monde. Elle me permet de retranscrire un sentiment, un détail qui aurait pu échapper aux autres, comme pour être témoin de son temps et prendre la réalité par surprise. La photographie m’apaise et me rend sereine : c’est mon « art libérateur ».
L’envie de voyager et de photographier le monde s’est accrue ces derniers mois. J’aspire à découvrir les capitales européennes, qui sont des sources d’inspiration pour moi. Je souhaite également montrer leur richesse et leur splendeur avec ma vision atypique pour créer le trouble dans l'œil du spectateur et l'émerveiller.
Désormais, j’aspire à faire découvrir mes photos sur la scène nationale et internationale. Le noir et blanc restera ma signature mais stimulée par la nouveauté et par l’envie de surprendre, j’envisage de réaliser des séries ponctuelles qui sortiront de mes photos habituelles tant au niveau technique, que de mes sujets.
Convaincue que mon don m’a aussi été donné pour soutenir une cause, je mettrai mon art au service de la protection animale, qui me tient à cœur.